Commissions Locales
> CAP
> CTL
> CDAS
> CHS
> Elections professionnelles
> CSA
> formation spécialisée du CSA
> CSAL
Personnels
> Congés et Aménagement du temps travaillé
> Concours et examens
> Harcèlement
> Mutations et réintégrations
> Notation
> Carrière, Promotions et Nominations
> Rémunérations
> Retraites
> Rencontre avec les personnels
> Textes statutaires
Découvrir le Syndicalisme
> Un peu d’histoire
> Comment adhérer
Divers
> Mutuelle
> ORE
> Restructurations
Actualités
> Trésor
> Générales
> Entretiens et Audiences avec la Direction
> Grèves et Manifestations
> DGFIP
Publications
> Générales
> Le Bulletin
> LE PENSEUR 21
Espace syndiqués
> Assemblées Générales
> Guides des élus
> Elections aux CAP
> Dossier Europe
> Dossier Notation
> Dossier Personnels
Vous êtes dans la rubrique :
> Actualités > Trésor > Actualités locales

Imprimer cette page

La Lutte ou la Chute ?

La CGT Trésor s’oppose totalement aux réformes annoncées (voir sur notre site Internet à l’adresse suivante :
http://www.tresor.cgt.fr/21/article.php3?id_article=303).

Comme en 2000, elle sera aux côtés de tous ceux qui veulent lutter pour un service public financier de proximité et de qualité.

Nous devons opposer une réaction d’envergure et créer les conditions d’une mobilisation massive et unitaire des personnels et des citoyens qui ne saurait se limiter à une grève de 24 heures. D’ores et déjà, les syndicats des Finances ont lancer un appel en ce sens à l’issue du Comité Technique Paritaire Ministériel (CTPM) du 7 juillet 2005 (voir la déclaration intersyndicale sur notre site Internet à l’adresse suivante : http://www.tresor.cgt.fr/21/article.php3?id_article=312 )

Nous devons tous créer les conditions de cette mobilisation à laquelle la CGT prendra une fois de plus toute sa part.

La claque infligée le 29 mai aux tenants de l’Europe libérale faisant suite à la gifle des élections régionales de 2004 démontre clairement le rejet par les citoyens de la politique antisociale menée par les gouvernements Chirac depuis 2002. Elle constitue également un formidable espoir pour les salariés français (et même européens) qui subissent depuis des années et au quotidien les conséquences désastreuses de cette politique.

Pourtant après avoir refusé d’écouter la "rue" le "nouveau" gouvernement refuse d’écouter les urnes. Le duo Villepin-Sarkozy veut poursuivre et accélérer la cadence des réformes dans le seul but de satisfaire les insatiables appétits du Medef.

 Casse du Code du travail par ordonnances

 Plan Douste Blazy, "contre" la Sécurité Sociale

 Privatisation des entreprises d’Etat (EDF-GDF, Sociétés d’autoroutes, etc.)

 Démantèlement des services publics

Au ministère des Finances messieurs Breton et Cope, ne voulant pas être distancés dans la course au libéralisme, affirment vouloir respecter les engagements budgétaires européens de la France, mener à bien la loi de programmation militaire, financer ce qu’ils osent nommer un plan de mobilisation de l’emploi. Le projet de loi de finances 2006 s’annonce comme un des plus catastrophiques que nous n’ayons jamais connu.

Seront plus que jamais à l’ordre du jour :

 Privatisations massives

 Suppressions d’emplois

 Abandon et externalisation de missions

 Fermetures de services publics et d’intérêt général

 Baisse des crédits

 Absence de revalorisations des traitements des fonctionnaires

Au Trésor et aux Impôts, de "nouveaux" projets de réformes sont annoncés. Revoilà la "mission 2003" version 2008. Face aux enjeux touchant à l’avenir des missions, du service public et des conditions de vie et de travail des agents, la CGT a choisi le langage de la vérité en rendant compte des réunions auxquelles elle a participé avec l’administration.

La CGT a été, bien souvent, seule à la DGCP ces dernières années à s’opposer à la Direction sur les nombreuses réformes qui préparaient cette nouvelle étape que constituent aujourd’hui les propositions soumises au Ministre. Du fait de leur impact immédiat et des perspectives qu’elles ouvrent, ces propositions ne peuvent s’analyser en opposant les intérêts d’une administration à une autre.

ALORS LA LUTTE OU LA CHUTE ? ? ?
NOUS N’AVONS PAS D’AUTRES CHOIX :

MOBILISONS-NOUS
TOUS UNIS POUR L’ACTION
DES LA RENTREE