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Elle court, elle court, .... LA RUMEUR

Depuis le début de l’année, la rumeur circule, imprécise et variable suivant l’interlocuteur : les travaux de l’immeuble Mathys (futur emplacement de la TG) rue Leon Mauris à Dijon seraient arrêtés pour cause de remontées inopinées d’eau dans les fondations. Puis on entendit parler de chlore, d’ammoniaque dans le sous-sol, les on-dit se multiplièrent tant et si bien que lors du dernier CTPL, les représentants CGT posèrent la question de la raison de l’arrêt de ces travaux. Madame Escard et son état-major prétendirent ne pas être au courant. Bien heureux propriétaire dont les locataires n’ont pas la curiosité de s’enquérir de l’avancée de travaux pourtant présentés comme « urgents », « stratégiques » et autres qualificatifs ronflants du langage technocratique.

Mais la rumeur, c’est bien connu, ne demande qu’à courir, tant et si bien que la question resurgit lors de la dernière CAP, apparemment de façon inopinée car elle eut le don de déclencher la colère de Madame Escard qui, du coup, crut bon de menacer les représentants d’un abandon immédiat du projet de relogement au Mathys, ce qui n’était absolument pas le but de l’intervention de la CGT. Pour la Direction, les travaux n’ont jamais commencé donc ils n’ont pu être arrêtés, quant à la pollution (on parlait de chlore ce jour-là) c’était la première fois qu’il en était question pour nos dirigeants locaux. Naïveté ? Ignorance ? Mensonge ? Mais, la main sur le c ?ur la Direction s’engagea à fournir aux élus du personnel la lumière sur toute cette affaire dans les plus brefs délais.

Dix jours plus tard, toujours rien d’officiel. Mais la rumeur s’est matérialisée sous forme d’engins de travaux sur le site du Mathys. Qu’y font-ils ? Bonne question. La meilleure méthode est d’aller parler aux chauffeurs pour en savoir plus. La réponse : DEPOLLUTION. La terre est enlevée du site jusqu’à atteindre une roche solide non-polluée et ensuite le site sera reconstruit sur une terre « propre » ramenée par camions. Tout cela aux frais du propriétaire (DTZ Jean Thouard). Mais dépollution de quoi ? Officieusement des hydrocarbures (du pétrole, nous sommes riches ! !) mais peut-être pas seulement car l’explication officielle tarde à venir.

On aurait pu continuer ce mauvais feuilleton longtemps...

Mais,

il est évident que les personnels ne peuvent se contenter de rumeurs, fondées ou non fondées, et que la Direction leur doit TOUTE la vérité sur ce site, dans les plus brefs délais. L’exemple du site NADAR à Vincennes (réinstallation d’une partie de la DPMA sur un site cancérigène ayant appartenu à Kodak) devrait servir de leçon à tous. La pollution des sols est un danger réel pour la santé. Et c’est pourquoi nous demandons la fin des demi vérités et des mensonges par omission qui sont monnaie courante sur ce dossier. Dans le cas contraire nous saurons prendre nos responsabilités et employer les moyens nécessaires pour faire le jour sur cette affaire et tordre le cou à la rumeur ! !