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Journée de Solidarité : le Premier ministre doit abroger la mesure Raffarin

La Cgt a rencontré la mission Léonetti, chargée par l’ancien Premier ministre d’évaluer la situation sur la journée de solidarité après les mobilisations auxquelles a donné lieu le lundi de Pentecôte travaillé en 2005. Elle a renouvelé son exigence d’annulation pure et simple de la mesure : la Cgt refuse toute notion de travail gratuit, quels qu’en soient la durée et la date, et l’objectif.

La mesure unilatérale décidée par le gouvernement Raffarin a profité deux fois plus aux employeurs qu’aux personnes âgées. Les seuls salariés ont été mis à contribution dans des conditions tout à fait inégales de traitement entre salariés.

La Cgt conteste également la création de la Caisse Nationale de Solidarité qui rompt les solidarités intergénérationnelles, fondement du système de protection sociale et fragilise, de fait, le financement pérenne de la dépendance.

La Cgt réclame que la mesure soit abrogée pour 2006 et qu’en 2005, la journée travaillée soit payée aux salariés, les retenues de grève remboursées, les journées de RTT rendues.

La Cgt attend du Premier ministre des engagements clairs pour respecter les droits des salariés et leur durée du travail, valoriser les salaires et l’emploi, conditions de retraites dignes et d’une protection sociale dynamique et solidaire.

La délégation Cgt était composée de : Maryse Dumas - Marie-Pierre Iturrioz - Richard Berraud -